Se laver les mains…

C’est vrai que le Médecin Hongrois Semmelweis, entre autres, incrimina la transmission par les mains d’un agent de l’infection provocant la fièvre puerpérale qui tuait tant de femmes après leur accouchement, en prônant le lavage des mains, il stoppa le phénomène.

Un autre, Ponce Pilate, petit Procureur Romain, en délivrant Barabas, un voleur, laissa crucifier Jésus, ce dont il se disculpa en se lavant publiquement les mains du sang d’un innocent, inaugurant ainsi une saga qui, à l’instar de la Covid-19, envahit la Terre entière d’une idéologie qui imprègne encore aujourd’hui un tiers de l’Humanité, deux milliards et demi d’individus.

Cette Geste, comme on disait au Moyen âge pour décrire une épopée, mythique la plupart du temps, ressemble étrangement à ce qui se passe alors, quelque chose d’invisible qui se propage et dont on conjure les effets en se lavant les mains en priorité, à part les autres gestes barrières accompagnant ce rituel.

Techniciens, scientifiques et autres intelligents des plus pertinents, tous sont tenus en échec par ce mystère dont on comptabilise seulement les scores à défaut de pouvoir l’exterminer, nous terrant à domicile, nous masquant au dehors, tous tenus prisonniers de cette lubie.

A ces protections est venue s’ajouter une vaccination jusqu’alors impossible, l’ARN messager, dont on connaît maintenant l’efficacité, l’innocuité et qui va constituer artificiellement une immunité collective, à terme, après l’été, et même si une partie de la population n’a pu être opérée (30 %)

Jusque là, la contamination sera constante en raison de l’imperfection actuelle de notre protection, mais nous viendrons finalement à bout de cette chienlit, la rangeant au placard des infections saisonnières ou épisodiques.

En attendant, nous n’aurons pu combattre que les symptômes de cette vacherie, subissant le sacrifice des plus fragiles d’entre nous, des plus faibles aussi, nos aînés.

Ces mystères nous dépassant, feignons d’en être les auteurs, disait Jean Cocteau dans  » Les mariés de la Tour Eiffel, aussi, un supplément, et pas des moindres, viendrait pousser à la roue notre démarche: une meilleure connaissance du processus.

La Covid-19, telle qu’on l’a nommée, et c’est déjà notre avantage, s’est propagée et sévit depuis un an en n’ayant rencontré aucun obstacle grâce à son incognito et surtout à une faculté particulière dont dispose l’animalcule: le facteur K (dont je revendique l’implication, depuis le temps où je me mêle de ce qui me regarde). Cette indication, au demeurant dérisoire, reste capitale mais, ne pouvant être reconnue en raison de son caractère hautement occulte, elle a pu, ni vu ni connu, j’t’embrouille, user et abuser de son pouvoir pour nous mystifier.

Le virus, d’ordinaire dispersé dans l’air, vise à constituer une nuée qui prend alors la même homogénéité qu’un gaz (l’aérolisation) pour s’infiltrer dans notre appareil respiratoire et fabriquer industriellement des copies qui sont rejetées, dispersées ( facteur K ) envahissant l’atmosphère ambiante afin de reproduire les mêmes scénarios sans jamais se lasser.

Sachant que chacun de nous exfiltre douze mille litres d’air chaque jour et en attendant ce nouveau Messie, l’ARN Messager, notre Sauveur à nous, évitons toute promiscuité, tout confinement, shake hand, réduisons nos transports en commun ( pas les autres ). Françaises, Français! Aérons-nous…

Laisser un commentaire